La fin des avertisseurs radars est prévue le 31 décembre
Posté: Sam 01 Oct 11 13:11
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il faut attendre la loi et le journal officiel pour validé cette info
A la suite de la réunion entre le ministre de l'Intérieur et les représentants de l'AFFTAC, la décision de supprimer les avertisseurs radars est maintenue. En effet, « il a été convenu que les avertisseurs de radars seront transformés en assistant d'aide à la conduite permettant de signaler les zones dangereuses » mais qu'ils ne pourront plus permettre d’alerter de l’existence d’un radar permanent ou mobile après le 31 décembre 2011.
« L'objectif d'améliorer la sécurité sur nos routes est un objectif partagé par tous les participants et la réunion de travail, très constructive, a permis à chacun d'exprimer son analyse de la situation et ses propositions » a déclaré le ministre dans un communiqué avant de préciser « que l'interdiction d'avertir de la position exacte des radars est une décision du CISR prise afin de faire respecter les limitations de vitesse sur tout le territoire et de sauver davantage de vies. Elle est du reste cohérente avec la décision d'enlever les panneaux signalant les radars fixes ».
Les participants ont convenu d'engager un travail en commun en vue de développer un ensemble de fonctionnalités contribuant à améliorer la sécurité routière. Les services de l'Etat apporteront ainsi leur appui à la diffusion de l'information, qu'il s'agisse des vitesses autorisées, de l'état du trafic ou de la lutte contre la somnolence.
Un protocole d'accord sera conclu dans les prochaines semaines afin de concrétiser la coopération entre l'AFFTAC et le gouvernement ce qui permettra de préciser ce qui pourra être fait ou pas avec les avertisseurs de zones dangereuses.
Mais selon le ministère de l’Intérieur, il n’est pas question de « déguiser » les avertisseurs de radars. « Ce seront des systèmes d’aide à la conduite, mais en aucun cas, ces systèmes permettront de communiquer la présence de radars fixes ou mobiles », a assuré son porte-parole. « Les zones dangereuses, ce sont les zones accidentogènes, pas forcément les zones où il y a des radars », a affirmé de son côté Thierry Mariani, le secrétaire d’État aux transports.
il faut attendre la loi et le journal officiel pour validé cette info
A la suite de la réunion entre le ministre de l'Intérieur et les représentants de l'AFFTAC, la décision de supprimer les avertisseurs radars est maintenue. En effet, « il a été convenu que les avertisseurs de radars seront transformés en assistant d'aide à la conduite permettant de signaler les zones dangereuses » mais qu'ils ne pourront plus permettre d’alerter de l’existence d’un radar permanent ou mobile après le 31 décembre 2011.
« L'objectif d'améliorer la sécurité sur nos routes est un objectif partagé par tous les participants et la réunion de travail, très constructive, a permis à chacun d'exprimer son analyse de la situation et ses propositions » a déclaré le ministre dans un communiqué avant de préciser « que l'interdiction d'avertir de la position exacte des radars est une décision du CISR prise afin de faire respecter les limitations de vitesse sur tout le territoire et de sauver davantage de vies. Elle est du reste cohérente avec la décision d'enlever les panneaux signalant les radars fixes ».
Les participants ont convenu d'engager un travail en commun en vue de développer un ensemble de fonctionnalités contribuant à améliorer la sécurité routière. Les services de l'Etat apporteront ainsi leur appui à la diffusion de l'information, qu'il s'agisse des vitesses autorisées, de l'état du trafic ou de la lutte contre la somnolence.
Un protocole d'accord sera conclu dans les prochaines semaines afin de concrétiser la coopération entre l'AFFTAC et le gouvernement ce qui permettra de préciser ce qui pourra être fait ou pas avec les avertisseurs de zones dangereuses.
Mais selon le ministère de l’Intérieur, il n’est pas question de « déguiser » les avertisseurs de radars. « Ce seront des systèmes d’aide à la conduite, mais en aucun cas, ces systèmes permettront de communiquer la présence de radars fixes ou mobiles », a assuré son porte-parole. « Les zones dangereuses, ce sont les zones accidentogènes, pas forcément les zones où il y a des radars », a affirmé de son côté Thierry Mariani, le secrétaire d’État aux transports.